La vie est comme une toile d'araignée
Catégorie: Développement personnel
Article par : Nathalie Ayotte
Autres articles de ce chroniqueur
05 avril 2014Un de mes films préférés lorsque j’étais enfant était « Charlotte’s Web ». J’étais fascinée par Charlotte l’araignée, sa grande sagesse et son amitié avec Wilbur le petit cochon naïf. Je me souviens avoir pleuré des sceaux lorsque Charlotte est morte. Je n’arrivais pas à comprendre qu’un être aussi intelligent, doux et délicat puisse mourir et laisser ces amis derrière elle pour faire face aux intempéries de la vie seuls et impuissants ... ça m’amenait à ma relation avec ma grand-mère. Que ferais-je le jour où elle décèderait?
Il m’arrive d’imaginer la vie comme une toile d’araignée qui me prend et me surprend au moindre petit tournant. Parfois, la toile et les insectes morts qu’elle contient me fait peur et me choc. Autres fois, c’est la beauté des gouttelettes de rosée sur la toile qui brillent comme des diamants sous le soleil du matin qui m’enivre. Toute la solidité et la perfection du tissage inextricable que fait l’araignée avec un simple fil de soie fragile et exquis m’émerveillent.
De plus en plus souvent, je me permets d’être comme l’araignée qui tisse sa propre toile de vie. Je peux la tisser au clair de lune dans une vieille grange ou sous le soleil de l’après-midi. L’important, c’est de tisser ma toile et d’en faire une œuvre d’art.
Je vois la vie comme une grande toile d’araignée : fragilement solide, facilement compliqué et longuement courte. Parfois, je m’y sens piégée et d’autres jours, j’y glisse comme une patineuse sur un lac de satin. Parfois, je suis répugnée par ce que je rencontre dans ma toile et d’autres fois, je ne vois que la beauté et la perfection dans chaque tournant, chaque imperfection.
J’ai confiance en la vie. J’y vois clair avec mes huit yeux autour de la tête, et chaque expérience m’accorde une chance pour devenir meilleure.
Il m’arrive d’imaginer la vie comme une toile d’araignée qui me prend et me surprend au moindre petit tournant. Parfois, la toile et les insectes morts qu’elle contient me fait peur et me choc. Autres fois, c’est la beauté des gouttelettes de rosée sur la toile qui brillent comme des diamants sous le soleil du matin qui m’enivre. Toute la solidité et la perfection du tissage inextricable que fait l’araignée avec un simple fil de soie fragile et exquis m’émerveillent.
De plus en plus souvent, je me permets d’être comme l’araignée qui tisse sa propre toile de vie. Je peux la tisser au clair de lune dans une vieille grange ou sous le soleil de l’après-midi. L’important, c’est de tisser ma toile et d’en faire une œuvre d’art.
Je vois la vie comme une grande toile d’araignée : fragilement solide, facilement compliqué et longuement courte. Parfois, je m’y sens piégée et d’autres jours, j’y glisse comme une patineuse sur un lac de satin. Parfois, je suis répugnée par ce que je rencontre dans ma toile et d’autres fois, je ne vois que la beauté et la perfection dans chaque tournant, chaque imperfection.
J’ai confiance en la vie. J’y vois clair avec mes huit yeux autour de la tête, et chaque expérience m’accorde une chance pour devenir meilleure.